Reflexion

A Sivens, au delà du volet de protection de la zone humide, et de l’utilité ou non d’une réserve d’eau, nous faisons face à une structure qui s’apparente à s’y méprendre à un système criminel et violent . Criminel dans son mode d’action, c’est à dire coupable de grave infraction à la loi et la morale . Ce qui est symptomatique ici , c’est que toutes les couches politiques jusqu’au plus haut niveau étatique sont indéniablement complices . Dans ce même wagon, de nombreuses et diverses entreprises privées sont irréfutablement,
consciemment et consciencieusement complices . Elle servent d’interface entre des réglementations plus ou moins bien interprétées voire douteuses, et les caisses d’argent public .

Decideurs

Ce trésor devrait être partagé équitablement dans au profit du plus grand nombre, de tous les citoyens SANS aucune EXCEPTION . Malheureusement ce que l’on nomme « utilité publique » signifie pour d’autres « comment s’en mettre plein les poches pendant que le autres se taisent »

Nous savons tous clairement que ce pillage est aujourd’hui finement planifié et organisé . Et… malheureusement ,
que nous pouvons tous être potentiellement salarié d’une entreprise ou une administration complice . C’est à dire que notre moyens de subsistance dépendant de notre travail quotidien, de l’énergie que nous y engageons, peut servir une cause qui nous savons ou qui nous échappe complètement . On peut faire alors le pire en croyant faire bien . On ferme les yeux et on fait quelques arrangements avec notre conscience, car l’examiner avec rigueur nous engagerait dans le trouble et le doute . Alors interrogeons notre coeur sans épouser une quelconque doctrine politique ou intellectuelle .REPONDS
DE TON COEUR, SANS TE DEFILER , SANS AVOIR PEUR DE TON
PROPRE REGARD sur toi-même : QUE VIT-TU , QUE RESSENT-TU ?
Que te dis de faire, dans le calme et le silence, loin des médias et des
sournoises propagandes, ta conscience ? Que vas-tu te donner chaque jour, que vas-tu donner à la société : c’est ce que tu choisis de faire à chaque instant …